09/11/2009

CADEAU POÈME. Quand le bleu...


Mon frère-ami, Fernando J. Carretero Zabala, professeur de Littérature et écrivain, nous a offert ce poème pour notre atelier littéraire. Merci. (J'espere que la version en français sera aussi belle que la sienne.)


Geórgica

CUANDO el azul otoña en los pomares,
y un zumo agraz -el ácido regusto
de la sidra tan turbia y apacible-
espuma el amarillo de su aroma.
Cuando fermenta en el lagar el mosto
que sedimenta el sol de la vendimia
o de la miel madura cosechada
cuya lánguida luz libó en su aliento.
Cuando la paz del frío ya se anuncia
por los ocres adustos de noviembre
y en el tímido gris de sus neblinas.
Sangran las tardes su arrebol más dulce,
un vaho de oro viejo y opulento
que con lento fulgor se desvanece.



Après les traductions faites en groupe, vous devez répondre à ces questions individuellement.
1.- explique le titre.
2.- quelles sont les couleurs nommées? pourquoi?
3.- comment s'appellent les figures littéraires des vers quatre et huit?
4.- quelle saison de l'année va finir?
5.- comment s'exprime le sentiment de l'arrivée d'une nouvelle saison?
6.- cite les éléments liquides(et explique).
7.- quels sont les adjectifs qui indiquent le calme?
8.- sa lecture te rend triste,nostalgique, mélancolique...? justifie ta réponse.

15 commentaires:

  1. Géorgique

    Quand le bleu otoña en les pomares
    et un jus de verts-acide arrière-goût
    de la cidre si trouble et paisible-
    mousse le jaune de son arôme.
    Quand fermente dans le pressoir moût
    que dèpose le soleil de la vendage
    ou du miel mûr récolté
    dont la fragile lumière a goûtée haleine.
    Quand la paix du froid s'annonce déjà
    pour de novembre
    et dans le timide gris des brouillard.
    Soirs gemment

    Noelia Pombo et Shany Varela

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  2. Quand le bleu automne dans les verges,
    et d'un jus verjus- l'arrière-goût acide
    du cidre tellement trouble et calme-
    mousse le jaune de son arôme.
    Quand fermet dans le pressoir le moût
    qui régle le soleil de la vendange
    ou du miel múrit recoltée
    dont la lumière fragile a goûte dans son haleine.
    Quand la paix du froid déjà annonce
    par les ocres austéres de novembre
    et dans le timide gris des brouillards.
    Sainent les aprè.midi sa rougeátre plus sucrerie.
    une vapeur d'or vieux et opulente
    qui avec éclat lent est écarté.


    Laura Alonso et Jenifer Casalderrey.

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  3. Quand le bleu automne dans les verges,
    et d'un jus verjus- l'arrière-goût acide
    du cidre tellemnt trouble et calme-
    mousse le jaune de son arôme.
    Quand fermet dans le pressoir le moût
    qui régle le soleil de la vendange
    ou du miel múrit recoltée
    dont la lumière fragile a goûté dans son haleine.
    Quand la paix du froid déjà annonce
    par les ocres austéres de novembre
    et dans le timide gris des brouillards.
    Saignent les après.midi sa rougeátre plus sucrerie,
    une vapeur d'or vieux et opulente
    qui avec éclat lent est écarté.


    Laura Alonso et Jenifer Casalderrey.

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  4. Géorgique
    Quand le bleu automne rétourne dans les vergers
    et jus verjus- l'acide-goût
    du cidre si trouble et paisible-
    écume le jaune de son arôme.
    Quand fermente dans le pressoir le jus
    qui dépose le sol de la vendange
    ou du mil mûre récolte
    dont la fragile lumière a buline dans sa haleine.
    Quand la paix du froid tout de suite sannonce
    pour les ocres austères du novembre
    et dans le timide gris de ses brumes.
    Saignent les après-midi son teinte rougeâtre des nuages plus doux
    une vapeur d'or vieux et opulent
    qui avec le lent feu se dissipe.

    Anxela Pedrouso et Ángela Chantrero

    (Dans la classe j'ai fait jusqu'à "pour les ocres austères du novembre" et j'ai fini le poème chez moi)

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  5. Géorgique
    Quand le bleu automne rétourne dans les vergers
    et jus verjus- l'acide-goût
    du cidre si trouble et paisible-
    écume le jaune de son arôme.
    Quand fermente dans le pressoir le jus
    qui dépose le sol de la vendange
    ou du mil mûre récolte
    dont la fragile lumière a buline dans sa haleine.
    Quand la paix du froid tout de suite sannonce
    pour les ocres austères du novembre
    et dans le timide gris de ses brumes.
    Saignent les après-midi son teinte rougeâtre des nuages plus doux
    une vapeur d'or vieux et opulent
    qui avec le lent feu se dissipe.

    Anxela Pedrouso et Ángela Chantrero

    (Dans la classe j'ai fait jusqu'à "pour les ocres austères du novembre" et j'ai fini le poème chez moi)

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  6. Hola, Carmen. Soy Fer. Resulta curioso ver lo escrito por uno vertido a otra lengua. Curioso y divertido. Felicita a tus alumnas de mi parte por su esfuerzo.Y dales las gracias ¡es la primera vez que se traduce algo mío! Las preguntas me parecen oportunas. Por fomentar el trabajo interdisciplinar, les pediría que investigaran qué figura retórica aparece en los versos cuarto y octavo. Por cierto, el verso once ha cambiado por "y en el tímido gris de un cierzo suave"

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  7. Quand le bleau automne rétoune dans les pommes
    et un jus verjus-l'acide arrière-goût
    du cidre si trouble et paisible-mousse
    le jaune de son arôme.
    Quand il faut fermenter dans le pressoir le moût
    qu'il dépose le soleil de la vendange
    o de la miel mûr récolté dont la fragile
    lumiére a butine dans son haleine .


    Cristina Fontán et Lara Areán
    Quand le paix del froid déjà s'annonce
    pour les ocres austère de novembre
    et dans le timide gris de ses brumes.
    Saignent las après-midis son teinte rougeâtre des nuages plus doux
    un vapeur buée de vieil or et opulent que avec lent éclat se dissipe

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  8. Quand le bleau autonme rétourne dans les pommes
    et un jus verjus-l'acide arrière-goût
    du cidre si trouble et paisible-mousse
    le jaune de son arôme.
    Quand il fait fermenter dans le pressoir le
    moût qu'il dèpose le soleil de la vendange
    o du miel mûr récolté dont la fragile lumiére a butine dans son haleine.
    Quand le paix del froid déjà s'annonce
    pour les ocres asustère de novembre
    et dans la timide gris de ses brumes.
    Saignent les après-midis son teinte rougeâtre
    plus doux
    un vapeur de vieil or et opulent qui avec le lent éclat se dissipe

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  9. Géorgique
    Quand le bleu automne dans les pomares
    et un jus raisin vert- le regoût acide
    du cidre ainsi trouble et paisible-
    ecume le jaune de son arôme.
    Quand fermente dans le pressoir le moût
    qui depose le soleil de la vendange
    ou du mûre miel recolté
    dout langoureuse lumière a butiné dans son haleine.
    Quand le paix du froide déjà se annoce
    pour les acres austère de novembre
    et dans le timide gris de ses bouillards.

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  10. Geórgique
    Quand le bleu automne dans les pomares
    et un jus raisin vert- le regoùt acide
    du cidre ainsi trouble et paisible-
    ecume le jaune de son arôme.
    Quand fermente dans le pressoir le moût
    qui depose le soleil de la vendange
    ou du mûre miel recolté
    dout langoureuse lumière a butiné dans son heleine.
    Quand la paix du froide déjà se annoce
    pour les acres austère de novembre
    et dans le timide gris de ses brouillards.

    Alicia González et Beatriz Campos

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  11. Quand le bleu fait l'automme dans les pommières
    et un verjus jus-l'acide arrière-goût
    du cidre se trouble et paisible
    écume le jaune de son arôme.
    Quand il ferment dans le pressoir le jus de raisin
    qui depose le soleil de la vendange
    ou du mûre miel recoltè
    dont la fragile lumière a boutiné dans sa haleine.
    Quand la paix du forid déjà s'annoce
    pour les ocres austères de novembre
    et le gris timide de ses brumes.
    Saignent les soirs son rouge plus doux,
    une vapeur d'or vieux et opulent
    qu'avec lent éclat se dissipe.

    Noemi Poceiro et Nuria López.

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  12. Quand le bleu automne rétourne dans les verger du pommes
    et un jus verjus-l'acide arriète-goût
    du cidre si trouble et paisible
    mousse le jaune de son arôme.
    Quand il faut fermenter dans le pressoir le moût
    qu'il dèpose le soleil de la vendange o du miel mûr récolté
    dont la fragile lumiére a butiné dans son haleine.
    Quand la paix du friod déjà s'annonce par les ocres austères de novembre
    et dans le timide gris de ses brumes.
    Saignent les aprés-midi son teint rougeâtre plus doux
    une vapeur de vieil or et opulent qui avec le lent élat se dissipe.

    Lara Areán y Cristina Fontán

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  13. Géorgique
    Quand le bleu automne rétourne dans les vergers
    et jus verjus- l'acide-goût
    du cidre si trouble et paisible-
    écume le jaune de son arôme.
    Quand fermente dans le pressoir le moût
    qui dépose le soleil de la vendange
    ou du miel mûre récoltant
    dont la fragile lumière a butine dans son haleine.
    Quand la paix du froid tout de suite s'annonce
    pour les ocres austères du novembre
    et dans le timide gris de ses brumes.
    Saignent les après-midi son teinte rougeâtre des nuages plus doux
    une vapeur d'or vieux et opulent
    qui avec le lent feu se dissipe.

    Anxela Pedrouso

    (Je l'ai corrige)

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  14. Géorgique (Corrigé)

    Quand le bleu automne rétourne dans les vergers de pommes
    et un jus de verts-acide arrière-goût
    du cidre si trouble et paisible-
    mousse le jaune de son arôme.
    Quand fermente dans le pressoir le moût
    que dèpose le soleil de la vendage
    ou du miel mûr récolté
    dont la fragile lumière a goûteé dans son haleine.
    Quand la paix du froid s'annonce déjà
    pour les ocres austères du novembre
    et dans le timide gris de ses brouillard.
    Saignent les après-midi son teinte rougeâtre des nuages plus
    doux
    une vapeur d'or vieux et opulent
    qui avec le lent feu se dissipe.

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  15. GEÓRGIQUE

    Quand le bleu automne arrive dans les pomares vergers
    et un jus verjus-le regoût acide
    du cidre ainsi trouble et paisible-
    acume le jaune de son arôme.
    Quand fermente dans le pressoir le moût
    qui depose le soleil de la vendange
    ou du miel mûre recolté
    dont la fragile lumière goutée dans son haleine.
    Quand la paix du froid déjà s'annonce
    pour les ocres austères de novembre
    et dans le timide gris de ses bouillards.
    Saignent les après-midi son teinte rougeâtre plus doux,
    un vapeur d'or vieux et opulent
    qui avec lent éclat se dissipe.

    Alicia González et Beatriz Campos

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