02/12/2016

Exercices de rattrapage de francais 3º ESO

D'abord  tu dois organiser ton cahier ou ton classeur; il faut savoir que  les élèves qui 
apportent davantage d’importance à un cahier ou classeur propre et organisé sont capables  d’acquérir, de réviser et d’approfondir les notions et connaissances abordées en classe.
 Un classeur ou cahier correctement tenu facilite le travail de révision pour les différentes évaluations.

Les documents photocopiés doivent être collés dans le cas d’un cahier ou rangés dans des pochettes 
plastiques pour un classeur.


L'élève doit avoir son cahier/classeur toujours avec lui.



Quelques exercices pour t'aider:

pour réviser les verbes ( seulement les verbes appris en classe ; fais une liste dans ton cahier)

http://www.lepointdufle.net/ressources_fle/conjugaison_present.htm
d'autres verbes LIRE, ECRIRE, PARTIR

http://www.lepointdufle.net/ressources_fle/verbes_frequents_indicatif_present.pdf

fais ces exercices pour le vocabulaire que tu dois savoir (moyens de transport, voyages)
http://w3.restena.lu/amifra/exos/voc/pgquot.htm

révise aussi les prépositions.

Expression orale: demander et indiquer le chemin, décrire ses habitudes
expression écrite: écrire une carte postale




01/12/2016

Exercices de rattrapage (2º ESO)

D'abord  tu dois organiser ton cahier ou ton classeur; il faut savoir que  les élèves qui 
apportent davantage d’importance à un cahier ou classeur propre et organisé sont capables  d’acquérir, de réviser et d’approfondir les notions et connaissances abordées en classe.
 Un classeur ou cahier correctement tenu, facilite le travail de révision pour les différentes évaluations.

Les documents photocopiés doivent être collés dans le cas d’un cahier ou rangés dans des pochettes 
plastiques pour un classeur.


L'élève doit avoir son cahier/classeur toujours avec lui.




Pour réviser les verbes.
faire
http://www.lepointdufle.net/ressources_fle/present_faire.htm
étudie seulement les verbes appris en classe:
http://fran-lang.vaniercollege.qc.ca/prep/pres/virr.htm
http://www.xtec.cat/~psanz/tick/exfra/A1MUL007.htm

vocabulaire
teste ici le niveau de vocabulaire
http://w3.restena.lu/amifra/exos/voc/pgquot.htm

Vocabulaire appris en classe
Repas et nourriture
moments de la journée ( matin, midi, après-midi, doir, nuit)
les heures





14/10/2016

FLE à l'ESO

REVISEZ LES POSSESSIFS:



http://fleneso.blogspot.com/2011/10/quiz-les-adjectifs-possessifs.html

04/10/2016

01/10/2016

3º ESO Le rap du passé composé avec Être



Tu peux laisser ton avis (COMMENTAIRES)

09/09/2016

LA RENTRÉE

Voilà on va commencer un nouveau cours 2016/2017.
Du courage à tous et toutes!Resultado de imagen de la rentrée scolaire

28/04/2016

W. C.???

Une famille anglaise passe ses vacances en Allemagne. Au cours d’une promenade, cette famille remarque une jolie maisonnette qui lui parait particulièrement adaptée à ses prochaines vacances. Elle sait que le propriétaire est un pasteur, avec lequel elle signe aussitôt un contrat de location. 

De retour en Angleterre, la famille s’aperçoit qu’elle n’avait pas vu les W.C au cours de la visite. Elle décide d’écrire au pasteur pour lui faire préciser où se trouvent les W.C. 

Le contenu de la lettre : 

Monsieur, je suis la dame qui a loué votre maison de compagne. Je ne sais pas où se trouvent les W.C, pouvez- vous me préciser où ils sont placés ? 

Salutations distinguées. 

………………………………………………… 

Quand il reçut la lettre, le pasteur ne compris pas l’abréviation W.C et pense qu’il s’agissait d’une église Germano-Anglaise appelée « Walls-Chapels ». Alors, il lui répondit : 

Madame, j’apprécie votre demande et j’ai l’honneur de vous informer que le lieu qui vous intéresse se trouve à 12 Km de la maison, ce qui est gênant pour celui qui s’y rend souvent. Ce dernier peut apporter son déjeuner avec lui. Il faut s’y rendre soit à bicyclette, soit en voiture, ou alors à pied, mais il est préférable d’arriver à l’heure pour avoir une place assise et pour ne pas déranger les autres. 

Dans le local, il y a de l’air conditionné très agréable, les enfants s’assoient à coté de leurs parents, et tout le monde chante en chœur. A l’entrée, il vous sera donné une feuille de papier. Ceux qui arrivent en retard peuvent se servir des feuilles de leurs voisins. Toutes les feuilles doivent être rendues à la fin, de façon à être utilisées plusieurs fois. 

Tout ce qui est recueilli est distribué aux pauvres. Le lieu est aménagé d’amplificateurs de son, afin qu’on puisse entendre dehors ce qu’on fait à l’intérieur. 
On y trouve des vitres spéciales, pour permettre de contempler les fidèles dans leurs diverses positions. 

Ceci dit, j’espère avoir été clair dans ma description. 
Veuillez, à votre tour, agréer Madame, mes respectueuses salutations.

ATELIER LITTÉRAIRE. LES QUATRE ÉLÉMENTS

( image :lousonna)

LE FEU

Moi, je suis le feu
Le feu qui allume tous les coeurs
Le feu de la passion, de l'amour
de la force, de l'espoir
Un feu qui ne détruit pas,
un feu tiède et agréable.
María Conde et Jorge García


LA TERRE

La terre nous unit à tous.
Tous sommes égaux sur elle,
Mais on essaye d'être différents,
Quelques fois pour le bien,
d'autres fois pour le mal.
On n'a pas les mêmes cultures et langues,
Mais on a le même esprit.
On n'a pas les mêmes énnemis:
"Nous mêmes".
Diego Rivera et Nuria Casas

ATELIER LITTÉRAIRE. Si j'étais...

Si j'étais un melon, je pourrais en sentir la douceur
Le melon ressemble l'eau de la mer en été
Si le melon parlait, j'écouterais des vagues contre les rochers
Si le melon portait des ailes, il viendrait à moi pour m'éloigner de ce monde
Le melon est mon esprit: fort à l'extérieur, doux à l'intérieur.


María Conde et Jorge García

Si j'étais une orange, je serais toujours dans l'arbre
L'orange ressemble au soleil quand le soir tombe
Si l'orange parlait, elle dirait qu'elle n'est pas si douce que moi
Si l'orange portait des ailes, elle voyagerait à côté des oiseaux
L'orange est ... quoi?


Nuria Casas et Diego Ribera

27/04/2016

ATELIER LITTÉRAIRE, FAIRE DES POÈMES (1)

CE QUE L'ON PEUT TROUVER DANS LA GUERRE

les soldats qui marchent vers la bataille, sans savoir s'ils retourneront
les villes où le silence es le seul habitant
un cri étouffé, perdu dans les rues détruites
les larmes des uns et des autres qui forment un lac cramoisi
hier l'espoir, aujourd´hui la tristesse, c'est en fin... la guerre

Jorge García et Ramón Carreño.

CE QUE L'ON PEUT TROUVER DANS LA FÔRET

Le chasseur en attendant le loup, comme le lycée quand il m'attend
Un lapin qui est caché et qui a une peur bleue comme quand les élèves vont faire un examne
Un phantôme dans l'oscurité, comme les étudiants qui ne feront jamais leurs rêves réalité
Une rose dans un clair de soleil comme quand je reussis l'examen
Une rivière qi coule comme l'amitié pour la vie
Une aigle qui vole livre, comme quand les élèves finissent le bac.
Alvaro Amoedo, Laura Girón et Monste Pazos.

CE QUE L'ON PEUT TROUVER DANS LA MONTAGNE

L'air d'Éole respiré
Des étoiles et la lune dans le ciel.
Les espoirs d'un alpiniste pour atteindre le sommet.
Et les rêves brisés de celui qui n'a pas réussi.
La neige argentée qui entoure ce géant.

Nuria Casas et Diego Ribera                                                                                                                  

21/04/2016

SAVIAFEST NOUS AVONS EU UN PRIX


LE GROUPE FORMÉ PAR ELBA, ALBA ET PAULA A RECU LE PRIX DU MOIS !!!
http://saviafest.smsavia.com/clasificacion

https://www.instagram.com/accounts/login/?next=%2Felbaalbapaula%2F&source=follow



saviafestpelideanimacion-ies-valle-inclan-36001-primero-de-bachillerato-dot-macamen-alonso-frances
saviafest               ¡Hola chicas! Sois de las ganadoras del mes de mayo, aún no hemos recibido vuestro mail para mandaros toda la info.

MICRORRECITS

Jorge García Moldes - 2º Bac C

       Minuit. Il marchait dans la rue de la cathédrale. L'homme qui portait le manteau gris était en train de le suivre. Il suait. Il a tourné à droite et it a trouvé une voie sans issue. Sur sa tête, il a remarqué le pistolet. Il était l'heure. La balle a traversé son crâne et son corps est tombé sur le sol, sans vie.

Felix Vandeneycken.  2º Bac C

       Il ne l'a pas laissé pleurer, il la trouvait trop belle pour qu'elle gâche son maquillage. "Souris à la vie, elle ne le mérite peut-être pas mais toi si." lui dit-il. Elle le regarda, souris et pleura de joie. Le maquillage était waterproof.

Nazaret Licer.  2º Bac C
       
       Il est revenu à la plage pour chercher le sablier qu'il avait perdu, c'est alors qu'il l'a vue, dansant avec les vagues. Après des heures à observer cette surène de forme humaine, il ne voulait plus retrouver son sablier parce qu'il avait perdu la notion du temps.

Nuria Casas Suárez. 2º Bac C

         J'entre dans le salon que je viens de découvrir. Il est obscur. Il y a beaucoup de meubles couverts par de vieux draps, je peux seulement voir leurs silhouettes. Il y a une qui attire mon attention. Je retire le drap et je découvre un vieux piano noir. Je l'ouvre et frôle le clavier. Tout à coup, des souvenirs apparaissent dans ma tête, des terribles scènes. J'écoute un son. Je me tourne et je le vois. Il est là, il me regarde.

Marcos Pérez Estévez. 2º Bac C

          Toute la vie on cherchant sa moitié d'orange. Elle va de fleur en fleur sans trouver cet être qui la complémentait. Acompagnée uniquement par sa solitude. Trop d'illusions et des espoirs pour finir en juice.


Sergio Martínez Martínez. 2º Bac E

          Quand la fauchese l'a visité, il a voulu échapper de son destin et a commencé à courir vers l'horizon, mais aprés innombrables anées en courant et sans penser à la forme sphérique de la planète, il s'est rencontré avec sa vieille amie.

12/04/2016

LA FRANCOPHONIE: CONCOURS. LES LAURÉATS:







Os alumnos e alumnas que gañaron estes premios foron 
1 ESO Paula Domínguez
2.  Pablo Lorenzo
3 Mencia Cernadas
4 Emma Silva
1 bac Ainhoa Esteban
2 bac ex aequo Félix Vandeneycken
             e Sergio Martinez
Accesits Nuria Casas e Álvaro Amoedo

11/04/2016

3ºESO RECETTE

Publiez vos recettes sur la rubrique COMMENTAIRES

01/03/2016

critiques

Un jour de guerre vue des étoiles (folio bilingue) présente l'intérêt de lire le témoignage poignant d'un Espagnol, car l'Espagne fut neutre durant toute la durée du conflit de 14-18. Or, l'écrivain manchot le plus célèbres des lettres espagnoles se rend sur le front alsacien et vosgien en 1916, survole le front de nuit, puis il retourne sur les fronts des Flandres, en Picardie, en Champagne, cette fois, où les combats sont intenses, et il témoigne de la boue, des rats, de l'odeur pestilentielle des cadavres que l'on ne peut aller chercher et enterrer, des blessés qui agonisent, du moral en berne des soldats transis d'effroi, de l'angoisse du poilu dans la tranché au moment d'en jaillir sur ordre... Au nom du sacrifice pour une cause immatérielle nommée patrie. Valle-Inclán tenta de réveiller les consciences espagnoles endormies et confites dans une neutralité sibylline ; en vain. le livre est un moment précieux de littérature, notamment sa première partie, Minuit (La media noche). le style, sec, est celui d'un grand reporter aguerri. Les chapitres prennent l'allure d'une chronique, avec sa vibration, son présent narratif, ses descriptions photographiques, où la nature, bien que bouleversée, demeure bucolique et paisible, et contraste ainsi de façon poignante avec le théâtre d'une épouvantable boucherie absurde qui s'offre aux yeux d'un témoin qui prend des notes pour l'histoire, et pour la littérature. 
Lien : HTTP://LEONMAZZELLA.HAUTETFORT.COM/HISTOIRE
/Les tranchées sont des saignées boueuses et étroites. Les eaux jaunâtres des pluies et des crues les inondent. Marcher, c’est glisser. Les souris vives courent sur les talus, les rats aquicoles trottent dans le fond bourbeux, et des rafales de vent apportent de froides pestilences de charogne. Dans le talus des tranchées, les sapeurs ont creusé de profonds abris où se réfugient des escouades de soldats, et aux endroits les plus propices aux écoutes et aux sentinelles, des silos avec des ouvertures dissimulées au milieu de blocs de pierres et de branchages. C’est depuis ces vigies que l’on découvre les lignes ennemies et que les artilleurs, communiquant par téléphone, règlent le tir des canons, toujours placés en arrière des premières défenses. Devant les deux fossés ennemis s’étendent des champs de barbelés épineux, et il y a des cloaques où les morts des dernières journées pourrissent sur les os déjà blanchis de ceux tombés les premiers jours de l’invasion. Tout autour, la terre est comme labourée. La mitraille a abattu les arbres et brûlé l’herbe. Du fond des tranchées jaillissent des fusées aux traînées rouges, vertes et blanches, qui éclatent dans les airs de la nuit obscure, éclairant brièvement ce vaste champ de bataille. Une alerte se propage, depuis les falaises de la mer du Nord jusqu’aux montagnes boisées qui regardent le Rhin.
http://www.rae.es/noticias/comicos-de-la-lengua-baja-el-telon-con-textos-de-valle-inclan
http://www.elcultural.com/blogs/stanislavblog/2014/05/valle-inclan-corresponsal-de-guerra/
http://www.abc.es/cultura/libros/20141231/abci-valle-inclan-201412301711.html
http://cvc.cervantes.es/literatura/aih/pdf/06/aih_06_1_089.pdf
http://cultura.elpais.com/cultura/2014/07/24/babelia/1406202356_158955.html
23 de marzo de 2015
20:00 horas
Real Academia Española
Sinopsis
José Luis Gómez cierra este viaje de la lengua con las palabras inigualables y la imaginación imposible de Valle-Inclán en un texto poco conocido: La media noche. El horror de la Primera Guerra Mundial, en la que el escritor fue corresponsal en el frente aliado, se vuelve un largo momento, por igual esperpéntico y poético, dada la visión estelar de este testigo.
Ramón María del Valle-Inclán podría ser considerado un globaliza­dor de la lengua española. El escritor gallego es bien conocido como uno de los primeros grandes novelistas de Hispanoamérica, participando en el género de la novela de caudillos con un lenguaje internacional del español; como una de las más incisivas y es­perpénticas miradas sobre la miseria y suciedad política, histórica y social en cualesquiera de los estratos de la vida española; y como uno de los más conscientes creadores de su época. La lengua y la expresión, llegadas a su voz, son un instrumento que hay que revisar y revivir. Explícitamente declara su designio de romper con el peso del pasado para buscar una expresión actual:
«Desde hace muchos años, día a día, en aquello que me atañe, yo trabajo cavando la cueva donde enterrar esta hueca y pomposa prosa castiza, que ya no puede ser la nuestra, si sentimos el imperio de la hora».
Así, con la pureza más trabajada de la lengua y con la responsabilidad de dar un acercamiento iluminador a una época determinante —en el año 1914— Valle-Inclán trasciende el aspecto testimonial de su asistencia en la guerra para ofrecernos la presen­cia de una visión astral, simultánea y trascendental de un relato máximo.
El texto, en esta lectura en vida, ha sido hilvanado para respetar y representar el ideal soñado de Valle-Inclán: contar, como el alma descarnada de un autor que mira la tierra desde su estrella, fuera del tiempo y del espacio, como un viejo poema primitivo, una visión suprema de un día de guerra.

Reparto
Cómico: José Luis Gómez
Académico: Darío Villanueva
- See more at: http://www.rae.es/valle-inclan-vision-estelar-de-un-momento-de-guerra#sthash.tcRWEUhE.dpuf

La media noche y La luz del día: dos obras de ValleInclán escritas al hilo de la Primera Guerra Mundial Adolfo Caparrós Gómez de Mercado.

http://dspace.ceu.es/bitstream/10637/5889/1/n%C2%BA10_p186_192.pdf
http://www.cervantesvirtual.com/bib/portal/catedravalleinclan/pcuartonivel3621.html?conten=autor&pagina=autor14.jsp

Valle-Inclán, reportero en la 1ª Guerra Mundial EFE. PARÍS El escritor gallego cubrió la contienda para El Imparcial en el frente de Alsacia Gallimard publica el escrito de Valle Inclán 'Un día de guerra visto desde las estrellas'

Cuando el tipo manco y barbado bordeó la trinchera, la infantería gala le tomó por un alto mando. Era mayo de 1916 y Ramón María del Valle-Inclán narraba la contienda para El Imparcial, una inesperada antología de crónicas que la editorial Gallimard rescata en el primer centenario de la Gran Guerra.

Porque Valle, pese a lo poco o nada que se recuerde, fue corresponsal en el frente de Alsacia y lo fue según esa manera suya, entre misticismo y crudeza, que, en opinión del coordinador de la traducción e hispanista François Géal, avanza el tono de su obra posterior. Y -quién sabe- de las obras de otros.

"Es el estilo inimitable de Valle, un tratamiento literario muy particular donde se esfuman las fronteras entre relato, teatro y poesía", argumenta Géal, autor además de un esclarecedor prefacio al texto.

Como Ortega y Gasset o Gregorio Marañón, el dramaturgo era aliadófilo con todo lo que ello significaba en el paisaje intelectual ibérico de la época, sembrado de manifiestos a un lado y al otro de esa "neutralidad forzosa", sostuvo Azaña, que exigían las carencias del país.

Y Valle impactó a la tropa. Géal cita los elogios de un tal capitán Roberts, admirado ante la entereza de un dramaturgo fiel a su mítica personalal que le gustaba recordar cómo, en el curso de la operación que le amputó el brazo, reclamó un habano para engañar el dolor.

A finales de 1916 y bajo el título de 'Un día de guerra' (Visión Estelar), el suplemento literario 'Los Lunes de el Imparcial' publicaba las crónicas en dos remesas - 'La media noche' y 'En la luz del día'- para facilitar las cosas al lector de una España que, bajo el reinado de Alfonso XIII, aúnrumiaba el desastre colonial.

Si bien la primera terminaría por encuadernarse en 1917, la segunda tuvo peor destino y permaneció en la sombra durante cinco décadas hasta que, en los años setenta, la editorial Aguilar la recuperó en unareedición de las obras completas del genio gallego.

Ahora, en plena explosión impresa del conflicto, Gallimard publica 'Un jour de guerre vu des étoiles' ('Un día de guerra visto desde las estrellas'), una esmerada edición bilingüe cuyo título alude a esa "visión estelar" que, tras sobrevolar el frente en plena noche, impresionó al cronista. "Fue una revelación", diría después.

Luego se contó -Géal cita a un testigo de la particular epifanía- que Valle, entonces recién nombrado profesor de Estética en Madrid, aprovechó elvuelo sobre las líneas alemanas para arrojar un puñado de cartas de visita con su nombre. La anécdota genera dudas aunque el personaje, advierte el hispanista, no invite a desecharla.

Pero la visión estelar era, antes de nada, un recurso narrativo: un punto de vista omnisciente, múltiple, que pretendía condensar "los varios y diversos lances de un día de guerra en Francia", según reconocía Valle en el prólogo a la edición de 1917.

Era 1916 o, lo que es lo mismo, Joyce no empezaría a publicar su monumental 'Ulises' hasta cuatro años después, y también es antes del'Manhattan Transfer' de Dos Passos, obras que aspiraban a narrar los entresijos de una sola jornada.

Así que aquel Valle de "capote, boina y polainas", como le describió su confidente Corpus Barga, se adelantó, según Géal, a cierta modernidad por mucho que "fracasase en el empeño" -o eso llegó a decir el escritor-, pues el resultado apenas rebasaba un "balbuceo del ideal soñado".

De la marinería a una aldea "destripada" o al tedio mortal de la trinchera, la mirada del cronista asombra cuando evita el "ritmo del cañoneo" para detenerse en las pupilas de un campesino, "llenas del amor por las cosas", o en ese tren que "derrama su cabellera de chispas en la cerrazón de la noche".

Valle describe una "negra llanura" donde los hombres, "asomados a las troneras, contemplan el incendio de las granadas"; o donde un perro de lanas sostiene entre los dientes el brazo de un cuerpo que se hunde: "Se ve la mano lívida. El perro nada hacia la luz".

Son imágenes de la "dimensión vanguardista" del autor, señala Géal, quien sugiere en su prólogo que la crónica debe ser leída como el laboratorio de una obra que ya anunciaba 'Luces de Bohemia', publicada en 1920, mientras prefiguraba los mimbres del esperpento.

Y aunque, como ironiza el hispanista, siempre lloviese en la Alsacia de Valle -era verano-, las imprecisiones y licencias continúan revelando un narrador "capaz de alcanzar otra verdad: a menudo más profunda que la suministrada por los hechos probados".

VALLE-INCLÁN, reporter sur la guerre du 14/18.

préfacé par François Géal
Avec la collaboration de l'atelier de traduction de l'E.N.S.
. Traduction inédite

LITTÉRATURE 2º BAC

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